Bonjour à tous passionnés de l'armée !

Dans ce nouvel article je vais aborder le sujet des chaussants dans l'armée française. Je vais parler des BMJA, des rangers un peu plus "moderne", etc...

Je vais vous les présenter dans un ordre selon l'ancienneté.

Commençons par les brodequins mdl 52 :

Les brodequins de marche modèle 52 (1952) sont des chaussures qui sont grandement inspirées par les brodequins de l'armée américaine de la seconde guerre mondiale. Ce sont des brodequins en cuir avec une guêtre rapportée (cousue) et se serre avec un lacet et les "sangles" sur le côté de la guêtre.

Les BMJA* mdl 65 :

L'évolution des broquins de modèle 52 sont les brodequins modèle 65 (1965). Les deux rangers sont identiques en terme de conception du stylisme mais la couleur change entre le modèle 52 et le modèle 65 (noir pour les 65 et marron pour les 52).

Les "Pataugas" :

Les pataugas sont des rangers* en toile. Elles ont été conçues pendant la guerre d'Indochine pour alléger et aérer le soldat car il faisait très chaud.

Les différentes marques qui proposaient ce genre de rangers sont WISSART et PATAUGAS.

Les rangers modernes :

Les rangers que nous connaissions actuellement sont des rangers très bien conçus pour le terrain en terme de confort, de résistance et pour les différents milieux.

Les plus répandues sont les HAIX NEPAL PRO ; d'autres marques proposes également de très bonnes rangers.

Les Haix sont des rangers en toiles avec quelques pièces en cuiret se serrent à l'aide de lacets.

Voici quelques photos :

                BMJA 52              BMJA 65            PATAUGAS                 HAIX NEPAL PRO

Lexique :

BMJA : Brodequins Montants à Jambières Attenantes

RANGERS : Les rangers sont des commandos connus pour avoir monter la falaise de la pointe du Hoc le 6 juin 1944. Le terme rangers fairait allusion avec ce groupe pour dire que c'est des chaussures "spéciales commandos". Les BMJA ont été utilisées en premier par les parachutistes.

Voilà juste un petit article pour parler des rangers et d'anecdotes historiques, j'éspère que ça vous auraient apporté un petit plus !

Sur-ce, je vous dit à la prochaine pour de nouveaux articles,

militairement,

Maël.

Bonjour tout le monde !

Je tenais énormément à partager cet article avec vous cet article car dans celui-ci je vais vous parler d'un youtubeur et pas des moindre ; SEB RANT.

Ce youtubeur propose un contenu très passionnant sur des sujets différents dans le militaria. C'est de lui que je m'inspire pour créer mes articles.

Je vous ai épinglé dans le lien du blog (à droite, dans les rubriques) sa chaîne YouTube.

Bonjour à tous, passionnés de l'armée !

Dans cet article je vais vous parler du brêlage TAP M51 (modèle 51), du brêlage f1 (vers 1979) et de l'ensemble modèle f2.

Ces ensembles de poches sont apparus depuis le XIXe siècle, sous l'empire Napoléonien. Le brêlage servais à soutenir grâce à un ceinturon et des bretelles de suspensions ; des poches servant à ranger les munitions et d'autres accessoires.

Ici, je vais me concentrer sur le brêlage TAP M51 jusqu'au brêlage f2.

TAP M51 :

A la fin de la seconde guerre mondiale suit la guerre d'Indochine. En sachant que les Américains nous ont laissés beaucoup de leurs matériels ainsi que quelques équipements passif, l'armée Française est vouée à reprendre certains de leurs équipements. En sachant que pendant cette guerre il y avait encore plusieurs vétérans de la F.F.I ou encore de l'armée régulière ; ces anciens reprenait les équipement qui leur servait pendant la 2^nd guerre. Les équipements étaient alors très hybrides.

C'est pendant la guerre d'Algérie que la France se voit créer un équipement purement inspiré de celui des Américains durant la 2^nd Guerre. C'est ici qu'apparaît le brêlage TAP M51. Le ceinturon est réservé d'abord aux paras, puis pour toute l'armée. Ce brêlage est en toile.

Constitution :

Le brêlage est constitué d'un ceinturon "RAPCO" (marque de fabrication) et de bretelles de suspensions. Au niveau des poches, nous allons retrouver des portes chargeurs du fusil FSA Mdl 49/56 ainsi que la housse de bidon ~1L. Plusieurs équipement subtiles peuvent être ajoutés. Le modèle pour officier sera aborder dans un prochain article.

Mdl f1 :

Suite à l'apparition du FAMAS (Fusil d'Assaut de Manufacture d'Arme de Saint étienne), l'armée régulière changea alors d'équipement. Le brêlage FAMAS Mdl f1 est constitué de deux version ; pour les officiers et pout les sous-officiers etc..

Composition :

Le ceinturon et les bretelles de suspensions f1. Pour les poches :

-housse de bidon ~1L ;

-Porte chargeurs FAMAS ;

-Trousse "sucet" (trousse pouvant accueillir le fit de nettoyage pour fusil) ;

-Trousse de soin

(OPTION : lampe TL122D pouvant être visible sur l'ensemble).

Mdl f2 :

Le modèle f1 à pris ces marques mais n'est pas assez efficace pour le terrain. Alors un nouveau brêlage fait son apparition, le Mdl f2.

Aucun changement par rapport au Mdl f1 mais juste le stylisme et quelques détails sur les poches -etc...- changerons.

En soi, la composition ne changera pas.

Ces équipement qui furent à la pointe de la technologie, si je puis dire est maintenant remplacé par de nouveau objets de protection.

Je vous donne rendez-vous pour un prochain article, sur-ce, à plus !

Bonjour, je vous envoie les photos des différents gilets de l'armée de terre.

Malheureusement, les photos de l'article n'ont pas voulues s'afficher.

Voici les photos :

Gilet pare-éclats    ->

Deuxième version du gilet pare-éclats  ->

Gilet classique   ->

Gilet d'assaut (ou de combat)  ->*

A plus pour de nouveau articles sur l'armée !

Militairement,

Maël.

Bonjour à toutes et à tous passionnés de l'armée et de la seconde guerre mondiale !

Dans ce premier ouvrage de la série Armée MODERNE, je vais vous parler des gilets "pare-balle". Je vais également vous parler des différents modèles qui ont existés dans l'armée.

Pour commencer, nous allons faire un petit historique du gilet.

Le premier gilet pare-balle fabriqué avec des fibres de kevlar à été inventé par Richard Davis, en 1976. Le gilet est composé de deux pièces, recouvrant plusieurs parties du corps ; pour l'avant : l'abdomen et le thorax. Pour l'arrière : le dos.

Il se ferme (selon le modèle) à l'aide de "scratch" ou des "clips".

Il à également deux bretelles pour pouvoir le porter.

Nous allons parler de la variante des gilets Pare-Balle, les gilets de combat. Les gilets de combats sont des gilets utilisés par les combattants. Il sert à avoir de manière très accessible l'équipement personnel du soldat, c'est à dire ; des munitions, une radio et bien plus...  Il permet aussi de facilité le chargement d'une arme et peuvent loger des plaques balistiques (qui le rendra pare-balle).

Il existe différentes coupes des gilets de combats, mais nous allons nous intéressé à ceux de l'armée de terre.

A l'époque, il n'existait que les gilets "Pare-Eclats", les gilets "classiques" et les gilets "Electroniques" (malheureusement, je n'ai pas trouver d'image pour le modèle électronique).

Gilet pare-éclats                                    

Le gilet "classique"

Deuxième version                     

du gilet pare-éclats

Gilet de combat

A l'époque, on mettait soit l'électrique, soit le pare-éclats. Des fois c'était les deux. Mais il n'y a pas d'ergonomie, ni de confort.

En 2016, l'armée se dote d'un nouveau gilet avec une meilleure modularité et ergonomie. Ce gilet est alors appelé Section Modulaire Balistique. Il est doté de passant "MOLLE" permettant de moduler le gilet comme le soldat le souhaites selon ses opérations. En 2022, la SMB V2-IA est apparue.

Les équipements balistiques de l'armée sont toujours à la pointe de la technologie, permettant au soldat d'être toujours performant.

Sur ce, je vous dis à bientôt pour un nouvel article de la série Armée

MODERNE, en espérant que celui-ci vous ai plus !

Militairement,

Maël.